Barthélémy Dias dénonce une tentative de violation de son domicile. Le maire de Dakar accuse la police et la gendarmerie et parle même de nervis qui tenteraient d’entrer chez lui. Le but ? L’arrêter, révèle-t-il.
In extenso, l’annonce de Barthelemy Dias :
Je suis désolé de constater que cette dictature rampante est arrivée à un extrémisme inquiétant. Des tirs nourris de la police et de la gendarmerie, directement sur mon domicile sont totalement inacceptables.
Cette volonté manifeste de vouloir défoncer ma porte d’entrée, accompagnés de NERVIS, pour m’arrêter est un signe d’un Etat finissant, et je dénonce avec la dernière énergie l’irresponsabilité des forces de défense et de sécurité .
Je félicite tous les militants, les sympathisants et les concitoyens épris de paix, de justice et de démocratie, qui se sont mobilisés pour défendre la démocratie sénégalaise.