Cette pression spéculée de partout par les politiques candidatées et parfois sanctionnée par des notes, reportages et communiqués des médias et puissances étrangères comme les USA, l’UE, la RFI, la FRANCE24, et la CEDEAO française doit nous inspirer une forte réflexion pour comprendre le pourquoi nous devons être unis en un seul sénégalais en priorisant l’intérêt général.
Embrayons notre fibre souverainiste sinon d’autres se verront substitués en Sénégalo-modérateurs pour guetter et s’approprier tranquillement de notre sécurité régalienne.
Un Macky SALL, Président sortant et non candidat dont le bilan sur le plan des infrastructures est élogieux, ne présente plus pour certains aucune assurance ni rassurance au lendemain des élections présidentielles. Pourquoi attendre à la fin pour le diaboliser, après avoir profité des accords et marchés parfois gagnés au détriment du secteur privé Sénégalais ? C’est parce comme le disent certains les sondages ou intentions de vote sortent insatisfaisants pour son candidat AM de la continuité ? Ou parce qu’il ne sera plus influant après sa lègue du titre de « Premier Sénégalais » qu’incarnera un autre ?
Nous qui étions présents dans la scène en 2011-2012 quand le PR Abdoulaye WADE avait reçu cette même couche de peinture.
Certes, des impairs peuvent être constatés dans tout bilan, mais priorisons la stabilité et l’union autour de nos acquis.
Cette position déjà stratégique et géographique du Sénégal pour accéder à toutes les ressources de l’Afrique de Ouest suscite appétit et pour continuer à contrôler nos hommes et terres par ceux que vous connaissez déjà et pour eux perdre le Sénégal, c’est voir fermer la porte de l’Afrique pour accéder aux ressources et à sa richesse. Cette valeur de solidarité doit être conjuguée et pratiquée par tous les protagonistes et citoyens.
Nous devons montrer notre maturité politique même si les intentions actuelles de vote sont favorables aux appelants « Patriotes », ils n’en demeurent pas moins que les occidentaux jouent leur positionnement pour garder voire augmenter leurs gains de richesse au Sénégal en se montrant favorable à une élection libre, inclusive et transparente. Tout çà pour un genre équidistant par rapport aux lois et règlements en vigueur.
Un « je » de politicien qui change de genre en fonction des intérêts du moment. Tout est devenu favoritisme. On fait du « Ngaralé » et franchement cela n’honore point nos politiques d’aujourd’hui. L’intégrité est une chance qui peut être inné ou que l’on devient une seule fois.